Lin Delpierre

Lin Delpierre est né en France en 1962.
Photographe, poète, artiste aux multiples désirs, il est aussi un magicien de l’entre-vue. Dans sa thématique de recherche sur “ les Passantes”, son regard, manifestement dirigé vers son sujet, parvient à installer avec lui, dès l’abord, un lien fugace, unique et déliberement ébloui. Pourtant, dans cette “ rencontre”, rien d’intime ne se dessine… rien de privé ne se dévoile, chacune de ces passantes laissant seulement entrevoir “en son corps intérieur” une forme d’appartenance… l’appartenance à un territoire, l’appartenance à une ville. Car “les Passantes” ne sauraient être extraites de leur contexte urbain. Ce ne sont pas ici, les villes qui façonnent les êtres, ce sont ces figures féminines, leur regard, leur posture, leur expression sensible qui en sont la véritable métaphore, voire l’allégorie : Rome, Moscou, Kyoto, Bamako, Berlin, Bombay, Montevideo, Buenos Aires… toutes respirent en elles, nous embarquant d’emblée dans un voyage personnel vers notre “super conscience affective”*
Découvrir l’ensemble de son travail @lindelpierre.com

Aurelien Meimaris

Aurelien Meimaris est né en France en 1990.
Diplômé de l’École Supérieure d’Arts et de Design Marseille Méditerranée – DNSEP, félicitations du jury, (Zahia Rahmani, Valérie Jouve, Paul-Emmanuel Odin, Malachi Farrell), Il partage depuis lors son temps entre résidences, reportages et expositions photographiques.
Découvrir l’ensemble de son travail @aurelienmeimaris.com
Un jour plongé dans le fond des choses, un jour glissant sur la surface des vivants, Aurelien Meimaris est en recherche endémique de la profondeur des situations et des sentiments… Tout est toujours entrevu sur le fil, entre témoignage du réel et réalité de l’absurde…
Si certaines images paraissent paisibles, elles sont le corps d’un délit caché, d’une souffrance tue. Si certaines paraissent fortement engagées, elles révèlent la folle poésie
d’un monde pris dans la saga infernale de la représentation, un monde qui a évincé la tendresse au profit de l’opportunisme.
Mais au delà de sa jeune lucidité, Aurelien Meimaris nous trouble et nous emporte… Il nous oblige, face à ses séries photographiques, à laisser rayonner librement notre capital de tolérance, notre don pour la confiance dans le monde de demain.

Marc Paygnard

Marc Paygnard, est né en France en 1945.
Photographe proche du courant Humaniste il est aussi reconnu pour son approche emphatique des personnages et des situations.
Les photographies de Marc Paygnard sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées, notamment au Musée Nicéphore-Niépce, à la Galerie municipale du Château d’eau, Toulouse, au Musée Carnavalet, au Cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale de France et au MoMA à New York.
Découvrir l’ensemble de son travail @marc-paygnard.fr
Marc Paygnard est photographe. Un point c’est tout.
Dans ses vies antérieures, aussi, il était certainement photographe…
Et c’est là, il y a bien longtemps, qu’il a fait sien tout l’amour du monde, cet amour dont son œuvre déborde, l’amour qui lui plaît depuis toujours de partager…
Tant d’images réalisées dans le monde entier, des milliers d’images, dont on pourrait penser qu’elles seraient des témoignages de ses voyages…
Mais, c’est sans connaitre Marc Paygnard, celui qui tout naturellement ne s’arrête pas à la surface des choses… témoigner, c’est trop peu ! Ce qui l’anime c’est beaucoup plus…
C’est rendre émouvant un champ de blé, un geste quotidien, un regard d’ancien, un moment banal qui par l’alchimie de son regard nous force à prier pour que ce moment dure…devant des images qui prennent sens en nous, simplement. Et aux côtés de ses compères d’Arles, ceux avec qui il a partagé la naissance des Rencontres, il a donné toute la place à la photographie, un art sensible et jouissif, le fondement d’un art libre.
Parce que Marc Paygnard est photographe. Et sa photographie est libre. Un point c’est tout.
Expositions
1979 : Biennale internationale de l’image, Nancy
1980 : Les gens d’ici, Cipes, Exincourt
1980 : Galerie Nicéphore, Serémange-Erzange
1980 : Centre Benoît Frachon, Belfort
1982 : Capturing time, Édimbourg, Écosse
1982 : Musée Nicéphore-Niépce, Chalon-sur-Saône, du 19 novembre 1982 au 2 janvier 1983
1983 : Grand prix de la ville de Vienne
1983 : Musée Ancien, Grignan
1983 : Médiathèque, Metz
1983 : Galerie des Arts, Nancy
1983 : Captions, Institut français, Londres
1984 : Parlez moi d’humour, Musée Georges-Garret, Vesoul
1984 : Théâtre Edwige-Feuillère de Vesoul, Vesoul
1984 : Musée d’Orange, parrainé par Jean Dieuzaide
1984 : Stills Galery, Édimbourg, Écosse
1985 : Galerie Nicaise, Laon
1985 : Itinérance, Saline royale d’Arc-et-Senans
1986 : Mois de la photo de Reims, Théâtre de Reims
1987 : Rencontres internationales de la photographie, Arles, présentée par Frédéric Mitterrand
1987 : L’espace indicible, Saline royale d’Arc-et-Senans, avec Jacqueline Salmon
1987 : Sahara : Le marabout des sables
1990 : L’été de la photographie, Laon
1991 : Indiana Saône, Musée Georges-Garret, Vesoul
1991 : Biennale internationale de l’image, Nancy
1991 : Roumanie, Laon
1992 : Invité d’honneur, Mois de la photo, Auxerre
1993 : Biennale photographique de Montpellier
1995 : Campagn’Art, Audincourt
1995 : Alst’hommes, Belfort
1996 : Femmes du haut Jura, Morez
1997 : Empreintes Chapelle de l’Hôtel de ville de Vesoul, Vesoul
2000 : Doubles vues Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul
2002 : Biennale de la photographie Urbi et Orbi : Sedan : Face à façades et Charleville-Mézières : Naufrage, Galerie Place Ducale
2003 : Architecture contemporaine, Héricourt
2003 : Maison de Franche-Comté, Paris
2004 : Gyvernimai-Vaizdai, Vilnius, Kaunas, Lituanie
2008 : Baisers, Festival des mots d’amour, Baume-les-Dames
2008 : Étrange, Vesoul
2009 : Le Pain, Archives départementales de la Haute-Saône, Vesoul
2010 : Proudhon, modèle Courbet, Festival d’Avignon
2015 : L’Émerveillé, Biennale de la photographie Urbi et Orbi, Sedan
Françoise Huguier

COPYRIGHT : Cyril Zannettacci
Née en France en 1945 famille aristocrate et bourgeoise elle part vivre avec elle en Indochine où elle passe donc ses premières années d’enfance. Elle débute la photographie par hasard, en se passionnant pour la photographie d’architecture.
Grande voyageuse, elle est passionnée par l’Afrique qu’elle commence à sillonner à la fin des années 1980. Le continent lui inspire un premier ouvrage : Sur les traces de l’Afrique fantôme (sur les pas de Michel Leiris) paru aux éditions Maeght en 1990. Elle est lauréate de la Villa Medicis hors les murs pour ce travail.En 1991, elle découvre les photographes Seydou Keïta et Malick Sidibé (futur lauréat du prix international de photographie en 2003) et contribue à faire connaître leurs œuvres. Elle est de nouveau lauréate de la Villa Médicis hors les murs en 1993 pour son livre En route pour Behring (éditions Maeght), journal de bord d’un voyage solitaire en Sibérie. Elle crée en 1994 la première Biennale de la photographie africaine à Bamako. En 1998, elle expose A l’extrême, travail de plusieurs années dans en Afrique du Sud. Dans la continuité de ce travail sur l’Afrique, Secrètes, livre dans lequel elle réussit à entrer dans l’intimité des femmes africaines, paraît chez Actes Sud en 1999. Paraît également chez le même éditeur un livre intitulé Sublimes, fruit de son travail sur les backstage des défilés de mode dans les années 80 et 96. Dès 2001, elle passe plusieurs années à Saint Petersbourg pour travailler sur les appartements communautaires. Un livre sur ce travail intitulé Kommounalki sort chez Actes Sud en 2008. Elle obtient une avance sur recette duCentre national de la cinématographie pour tourner un film : huis clos dans un de ces appartements, intitulé Kommunalka (sortie 2008, productions Les films d’Ici).En 2004, elle retourne sur les traces de son enfance de prisonnière au Cambodge. Un livre intitulé J’avais huit ans retrace cette histoire et paraît chez Actes Sud en 2005. Suit une exposition aux Rencontres d’Arles.En 2007, Jean-Luc Monterosso, directeur de la Maison européenne de la photographie, lui demande d’être l’un des commissaires du Mois de la Photo 2008. En 2008, elle est l’invitée de Christian Lacroix directeur artistique des Rencontres internationales de la photographie d’Arles, où une grande exposition lui sera consacrée.En 2014, une grande exposition lui est consacrée à la Maison européenne de la photographie, Pince moi je rêve.
Françoise Huguier … mon “Héroïne”… Parce qu’approcher l’humanité par son regard m’a rendue addicte, ne m’a plus laissée intacte, ni en repos. Chaque “objet de son désir photographique” entre dans sa lumière intime. Il devient grisant, émouvant, noble en fait, et nombreux sont ceux qui, passés par son objectif acquièrent un statut d’être singulier, tout en imposant leur simplicité vivante… Lire ses images c’est embrasser l’univers dans sa diversité mais aussi dans un ensemble rendu cohérent, car marqué par son passage. La curiosité compulsive qui anime Françoise Huguier ose la métamorphose du plus dur, du plus indicible, en émotion et en vérité. Et la vérité ici, est belle… belle d’être vraie. Enfin, Françoise Huguier est aussi une héroïne parce que les femmes photographes, virtuoses de l’audace et de la passion, sont stupéfiantes par leur acharnement sincère à dire la vie. Suivre leur trace force la courage de regarder le monde dans les yeux.
SÉRIES photographiques
Virtual Seoul, 2016
Apprendre à mourir en Corée du Sud, 2015
K-POP en Malaisie, 2014
Hijab en Indonésie, 2013
Les nonnes de Colombie, 2013
Fleurs de peaux, 2013
Kommounalki, 2008
J’avais huit ans, 2005
Sublimes, 1999
Secrètes, 1996
Durban, Afrique du Sud, 1996
En route pour Behring, 1993
Sur les traces de l’Afrique fantôme, 1990
MULTIMEDIA
Kommunalka (extrait), 2008Trophée d’honneur des Photographies de l’année de Bellême
PRIX
Pour l’ensemble de sa carrière photographique – 2017
Lauréate Prix International Planète Albert Kahn
Pour ses qualités humanistes et pour l’ensemble de son travail – 2016
Lauréate du Prix de la photographie de l’Académie des Beaux-Arts
Pour son projet « Vertical / Horizontal, Intérieur / Extérieur. Singapour Kuala Lumpur – Bangkok « Middle classes » en Asie du Sud-Est à l’aube du XXIe siècle » – 2011
Lauréate du Prix Anna Politkovskaïa
Pour son film « Kommunalka »
31ème édition du Festival International de films de femmes de Créteil
Lauréate du World Press Photo
Pour sa série « En route pour Behring » – 2008
Lauréate du Prix Villa Médicis « Hors les Murs »
Pour sa série « En route pour Behring » – 1993
Lauréate du Prix Villa Médicis « Hors les Murs »
Pour sa série « Sur les traces de l’Afrique fantôme » – 1990
Lauréate du Prix des Rencontres Internationales de la photographie d’Arles – 1987
Lauréate du Prix Kodak de la critique photographique -1986
Olivier Christinat

Né le 19 décembre 1963 à Lausanne (Switzerland), Olivier Christinat est photographe indépendant depuis 1985. Dès 1996 il oriente son activité vers une recherche personnelle et entreprend les séries «Photographies apocryphes», «Évènements» et «Nues» puis est mandaté par Expo.02 en 2001 pour réaliser les images du pavillon «Le premier regard» à Yverdon.
En 2010, Olivier Christinat réoriente son travail hors de l’atelier et de la mise en scène, il débute les séries «Leçon de paysage», «Autre leçon de paysage», «Lignes de fuite», «Nouveaux Souvenirs.
En 2018, l’EPFL (École polytechnique fédérale de Lausanne), le mandate pour réaliser une série de photographies célébrant le 50e anniversaire de la prestigieuse école.
Il remporte le Prix Alfred Latour en 2021, qui aboutit à la réalisation de « Pas un jour sans une nuit », livre d’artiste publié en 2022 par Actes Sud, qui réunit Photographies, images typographiques et dessins vectoriels.
Le travail d’Olivier Christinat a fait l’objet de nombreuses expositions en Europe, mais aussi au Japon et aux Etats-Unis.
Une sensibilité atypique aux êtres et leur environnement qu’il marie ou désunit, engendre dans le travail de Olivier Christinat, la sensation d’une architecture préméditée…
Le vivant et la matière sont tout autant constitutifs d’une scénographie qu’il construit délibérement avec minutie et singularité. Les lieux choisis ne nous proposent aucune limite visuelle… et l’histoire continue souvent hors cadre, propice à l’imaginaire.
Que sont les humains, dans et hors cette même histoire ? Parfois choses minuscules perdues dans leur vaste paysage, parfois sujets gigantesques occupant tout l’espace, ils sont là où on ne les attend pas, là où on ne les situe pas précisément, inscrits dans cette immensité du monde accueillante ou abrupte, minérale ou végétale, mais toujours structurée.
Chaque image est à mon sens pour Olivier Christinat, une aventure romanesque, un moment de vie capturé et partagé, dont lui seul connait l’allusion ou l’allégorie, mais dont la magnifique harmonie, la sérénité indéniable sont pour nous promesse d’une réflexion unique et universelle à la fois.
Expositions personnelles
2019 Infinity Room I, ArtLab, EPFL, Lausanne (CH)
2018 Espace Jörg Brockman,Carouge (CH)
2017 Espace CHUV, Lausanne (CH)
Galerie davel 14, Cully (CH)
2014 Galerie Cour Carrée, Paris (F)
2013 Journées Photographiques de Bienne (CH)
Rolex Learning Center, EPFL, Lausanne (CH)
Galerie Michel Foëx, Genève, (CH)
2012 Galerie davel 14, Cully (CH)
2004 Picture Photo Space, Osaka (Japon)
NAF Gallery, Nagoya (Japon)
2003 Galerie Rothamel, Erfurt (D)
2002 Galerie Damasquine, Bruxelles (B)
Galerie Donzé Van Saanen, Lausanne (CH)
Paul Kopeikin Gallery, Los Angeles (USA)
2001 Galerie Bodo Niemann, Berlin (D)
Centre d’art contemporain, Hasselt (B)
Mois de la Photo de Montréal (Can)
Galerie Basta, Lausanne (CH)
Picture Photo Space, Osaka, (Japon)
2000 Photoforum Pasquart, Bienne (CH)
Galerie Pascal Polar, Bruxelles (B)
1999 Galerie Cour Carrée, Nancy, (F)
DAZ, Galerie Lutz Fiebig, Berlin (D)
Museo Ken Damy, Brescia, (I)
Centre Culturel de Hasselt (B)
1998 Centre Culturel Suisse, Paris (F)
Bayerisch Institut, Hersching, (gal. Fiebig) (D)
Centro Culturale Svizzero, Milan (I)
Swiss Center, New-York (USA)
Galerie Polaris, Paris (F)
Fotogalerie Wien, Wien (A)
Fotomuseum Leipzig, Molkau-Leipzig (D)
Galerie Knapp, Lausanne (CH)
Krisal Galerie, Carouge Genève (CH)
Galerie Zéro, l’infini, Besançon (F)
1997 Galerie Lutz Fiebig, Berlin (D)
Galerie Cour-Carrée, Nancy (F)
Galerie Arts.Gambetta, Metz (F)
Galerie Zéro l’Infini, Besançon (F)
Centre SwissMedia, Vevey (CH)
1996 Galerie Natacha Knapp, Lausanne (CH)
Galleria Ken Damy, Milano (I)
Musée de l’Elysée, Lausanne (CH)
Galleria ConsArc, Chiasso (CH)
1994 Galerie du Rocher, Nyon (CH)
Museo Ken Damy, Brescia (I)
1993 Centre Culturel de Saint-Gervais, Genève (CH)
1992 Chapelle de la Visitation, Thonon (F)
Expositions collectives (sélection)
2020 Des Seins à Dessein, Espace Arlaud, Lausanne, CH
Civilization, The way we live now, NGV, Melbourne (AUS)
Civilization, The way we live now, AAG Toi o Tamaki, Auckland (NZ)
2019 Civilization, The way we live now, UCCA, Beijing (CHINA)
2018 Civilization, The way we live now, NMMCA, Seoul, (KOR)
« Absence », Art’Loft, Bruxelles (B)
2017 Sans limite, Photographies de montagne, Musée de l’Elysée (CH)
Espace CHUV, Pleins feux ! La collection d’art de la Ville de Lausanne (CH)
2015 Un autre regard sur Paléo, Musée de l’Elysée (CH)
2014 Do you speak touriste ?, Musée d’art de Pully (CH)
2010 Modes de Vie, Art et Fiction, Genève (CH)
2009 Collective Visarte Vaud, Palais de Beaulieu (CH)
2006 Stephen Cohen Gallery, Los Angeles (USA)
MEP, En Français sous l’image, Paris (F)
Picture Photo Space, Osaka (Japon)
2002 Nu…, Photoforum Pasquart, Bienne (CH)
The VFG Selection, Zurich, Basel (CH)
A la rencontre de l’art contemporain, Fonds arts plastiques Lausanne (CH)
Photo. Romandie, Musée de l’Elysée, Lausanne (CH)
Présence. Indices, virtualités (Le corps), Espace Arlaud, Lausanne (CH)
2000 Au centre l’artiste, Photoforum Pasquart, Bienne (CH)
Le siècle du corps, Musée de l’Elysée, Lausanne (CH)
Galerie Fischlin, Nyon, (CH)
Galerie Polar, Bruxelles, (B)
1999 Galerie polaris, Paris,F
Le siècle du corps, exposition itinérante, Musée de l’Elysée
Galerie LipanjePuntin, Trieste (I)
Galerie Krisal, Carouge (CH)
1998 The Body in the mirror, Photographic center of Skopelos (G)
1997 Portraits, singulier pluriel, Bibliothèque Nationale de France, Paris (F)
1996 Musée Ariana, Genève (CH)
1995 Comme dans un miroir, exposition itinérante, Musée de l’Elysée
1993 Palais de Tokyo, Centre National de la Photographie, Paris (F)
Grenier à Sel, P.E.J.P., Arles (F)
1992 Grenier à Sel, Panorama Européen de la Jeune Photographie, Arles (F)
1991 Abbaye de Montmajour, European Kodak Award, Arles (F)
2021 Prix Alfred Latour (CH)
Monographies
2022 Pas un jour sans une nuit, Actes Sud (F)
2019 Regards sur l’EPFL, PPUR, Lausanne (CH)
2017 Nouveaux souvenirs, art&fiction, Lausanne (CH)
2002 Evénements, Le Musée de l’Elysée, Lausanne (CH)
2000 Photographies apocryphes, éditions Marval, Paris (F) et Fotofolio (USA)
1997 Photographies apocryphes, Editions et Galerie Fiebig, Berlin (D)
1995 Lumière cendrée, texte de Etienne Barilier, Edizioni del Museo, Brescia, (I)
Télévision
2004 Olivier Christinat, Photo-Suisse, un film de Jean-Stéphane Bron, TSR
1998 Tel est ce soir, TVRL (CH)
1996 Sortie libre, TSR (CH)
Jonction magazine, TVRL (CH)
1994 L’homme au cent visages, Magellan TSR (CH)
1992 Bermuda No 2, Télévision Suisse Romande (CH)
Découvrir l’ensemble de son travail @olivierchristinat.com