« La jouissance passe par l’image, voilà la grande mutation »
Roland Barthes – La Chambre Claire
© Françoise Huguier
Jusqu’au 19 mai
La galerie propose une exposition mettant en lien
Dessin et Photographie
Inspirés par la deuxième édition du Festival de Dessin à Arles,
nous avons marié sur nos cimaises deux artistes exceptionnels…
des artistes qui sont de réels scénographes engagés de l’image.
La photographe Françoise Huguier et ses Modèles de Mode
dans des univers quasi illustratifs, voire cinématographiques
&
L’illustrateur Jacques de Loustal dont la série illustrée
“Artiste et Modèles” imagine l’irruption d’un photographe
dans l’intimité d’un Modèle vivant, tout à lui.
du mercredi au samedi de 14h00 à 18h00
Accueil Collectionneurs sur Rendez-vous
pour autres créneaux Tel. +33(0)6 22 44 34 34
La galerie IRA LEONIS est installée au 1er étage d’un hotel particulier arlésien au cœur du centre historique. Elle met son expérience au service de la photographie d’auteur(e)s, qu’elle défend sous toutes ses formes, traditionnelle et contemporaine.
Fidèles à nos convictions et nos choix, nous exposons et proposons avec exigence des images d’exception surprenantes, émouvantes, actuelles et vintage dont les tirages photographiques argentiques et numériques sont de grande qualité.
Nos expositions monographiques ou collectives sont l’occasion de belles découvertes et de coups de cœur pour tous les amateurs de photographie désireux d‘enrichir leur collection.
Et ceci, avec toutes les garanties d’une galerie d’art d’expérience, installée au cœur d’Arles, ville passionnée par l’Image et Capitale Internationale de la Photographie
Artistes représentés, collaborations passées et œuvres de :
Lin Delpierre, Françoise Huguier, Aurélien Meimaris,
Marc Paygnard, Robert Ramser, Jean-François Jonvelle,
Edouard Boubat, Olivier Christinat, Nan Goldin, Sarah Moon, Youssef Nabil,
Marc Riboud, Lucien Hervé, Man Ray, Malic Sidibé…
La galerie est membre du réseau des lieux d’Art ARLES CONTEMPORAIN
Les éditions IRA LEONIS de la galerie
… Sarah Moon, Lucien Hervé, Lin Delpierre, Robert Ramser, Aurélien Meimaris, Françoise Huguier, Marc Paygnard, Olivier Christinat …
Chaque exposition est l’occasion de réaliser une édition numérotée et limitée à 200 exemplaires illustrant une partie du travail de chacun des artistes. Une collection qui s’accroit au fil du temps…
Quelques expositions arlésiennes
La galerie propose toute l’année un cycle d’expositions monographiques ou collectives, présentant le travail de ses artistes et de noms iconiques issus de collections privées.
Aurélien Meimaris
« Un jour plongé dans le fond des choses, un jour glissant sur la surface des vivants, Aurelien Meimaris est en recherche endémique de la profondeur des situations et des sentiments… Tout est toujours entrevu sur le fil, entre témoignage du réel et réalité de l’absurde… Si certaines images paraissent paisibles, elles sont le corps d’un délit caché, d’une souffrance tue. Si certaines paraissent fortement engagées, elles révèlent la folle poésie d’un monde pris dans la saga infernale de la représentation, un monde qui a évincé la tendresse au profit de l’opportunisme. Mais au delà de sa jeune lucidité, Aurelien Meimaris nous trouble et nous emporte…
Il nous oblige, face à ses séries photographiques, à laisser rayonner librement notre capital de tolérance, notre don pour la confiance dans le monde de demain. »
Lin Delpierre
“Photographe, poète, artiste aux multiples désirs, Lin Delpierre est aussi un magicien de l’entre-vue. Dans sa thématique de recherche sur “ les Passantes”, son regard, manifestement dirigé vers son sujet, parvient à installer avec lui, dès l’abord, un lien fugace, unique et délibérement ébloui. Pourtant, dans cette “ rencontre”, rien d’intime ne se dessine… rien de privé ne se dévoile, chacune de ces passantes laissant seulement entrevoir “en son corps intérieur” une forme d’appartenance… l’appartenance à un territoire, l’appartenance à une ville. Car “les Passantes” ne sauraient être extraites de leur contexte urbain. Ce ne sont pas ici, les villes qui façonnent les êtres, ce sont ces figures féminines, leur regard, leur posture, leur expression sensible qui en sont la véritable métaphore, voire l’allégorie : Rome, Moscou, Kyoto, Bamako, Berlin, Bombay, Montevideo, Buenos Aires… toutes respirent en elles, nous embarquant d’emblée dans un voyage personnel vers notre “super conscience affective”.
Galerie IRA LEONIS 